Monsieur, je crois que vous avez un petit problème de "carré"
Il est très difficile d'adopter une ligne de conduite et de la maintenir sans y déroger surtout quand l'intéressé choisit de faire le bien.
Au détour de n'importe chemin utilisé, un bon nombre de tentations vient perturber et remettre en question tout un leitmotiv.
Géométriquement parlant, je n'aime pas le concept de la "ligne" de conduire, elle représente mal la perception humaine, je lui préfère la notion de "carré". Chaque personne possède donc son carré virtuel dont les côtés font la taille souhaitée et à l'intérieur duquel l'intéressé peut y jouir.
Un problème se pose : en cas de franchissement sévère d'un des côté du carré, qui est là pour soulever cet état de fait et pour rappeler à la personne ses propres limites virtuelles ? Le rêve serait l'application de la théorie de l'ange gardien : avoir une personne qui veille à ce non franchissement par usage de concept de prévention.
Que représente ce carré ?
réponse :
Les bonnes moeurs
__________________
I I
I I
I I
La loi I X I La dignité
I I
I I
I__________________I
L'intégrité physique
La loi : D'un concept socio politique, il s'agit des lois appliquées dans un état de droit. La sanction utilisé en cas de sortie du carré est celle mise en place par l'institution judiciaire. Dans un concept humaniste et théologique, la loi divine intervient également, j'émets juste un doute sur la sanction.
Les bonnes moeurs : cette notion un peu vague a été écarté de la loi française. Je l'ai choisie volontairement car son aspect flou lui permet d'englober tout un tas de situations. La sanction sera appliquée soit par un tiers (cas de l'épouse trompée par son mari) soit par un processus physiologique (prise de poids par abus de gourmandise, état d'ivresse très avancé pour abus d'alcool).
La dignité : Il s'agit de tout ce qu'il ne faut pas faire qui porte préjudice immédiat à la personne ; c'est la barrière de l'auto-humiliation. La sanction intervient tout de suite et respecte des normes sociales imposées.
L'intégrité physique : Le conseil d'Etat a reconnu l'intégrité de la personne comme étant d'ordre public (illustré dans l'obligation du port du casque à moto). La sanction est exclusivement corporelle.
Dans le cadre d'une activité professionnelle, ce carré reste le même et les transgressions engendrent les mêmes sanctions.
Exemple de transgression dans un cadre professionnel :
transgression quadrilatérale (donc d'une gravité extrême) : Aller au Shopi pendant son activité professionnelle. C'est illégal car le droit du travail ne reconnait "le shopi". C'est contraire aux bonnes moeurs car l'employeur ne paye pas quelqu'un pour aller à "shopi". C'est indigne car l'image renvoyé à ses autres collègues de travail est déplorable. Cela met en danger l'intégrité physique par les risques causés en traversant une route parfois en dehors des clous.
Transgression bilatéral : être torse nu pendant une activité professionnel de service public à la personne. C'est contraire au droit du travail qui impose une tenue bourgeoise pour les personnels qui reçoivent du public et c'est contraire à la dignité (la sanction de l'humiliation ne se fait d'ailleurs pas attendre).
Transgression unilatéral : Utilisation de chaussures à talon dans un contexte professionnel d'action. C'est la transgression la moins grave, c'est une simple atteinte à la dignité, c'est juste risible.
Extrait : "Les precepts de Laurence Kroug, précept n°35, géométrie sociale"
Au détour de n'importe chemin utilisé, un bon nombre de tentations vient perturber et remettre en question tout un leitmotiv.
Géométriquement parlant, je n'aime pas le concept de la "ligne" de conduire, elle représente mal la perception humaine, je lui préfère la notion de "carré". Chaque personne possède donc son carré virtuel dont les côtés font la taille souhaitée et à l'intérieur duquel l'intéressé peut y jouir.
Un problème se pose : en cas de franchissement sévère d'un des côté du carré, qui est là pour soulever cet état de fait et pour rappeler à la personne ses propres limites virtuelles ? Le rêve serait l'application de la théorie de l'ange gardien : avoir une personne qui veille à ce non franchissement par usage de concept de prévention.
Que représente ce carré ?
réponse :
Les bonnes moeurs
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I I
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La loi I X I La dignité
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L'intégrité physique
La loi : D'un concept socio politique, il s'agit des lois appliquées dans un état de droit. La sanction utilisé en cas de sortie du carré est celle mise en place par l'institution judiciaire. Dans un concept humaniste et théologique, la loi divine intervient également, j'émets juste un doute sur la sanction.
Les bonnes moeurs : cette notion un peu vague a été écarté de la loi française. Je l'ai choisie volontairement car son aspect flou lui permet d'englober tout un tas de situations. La sanction sera appliquée soit par un tiers (cas de l'épouse trompée par son mari) soit par un processus physiologique (prise de poids par abus de gourmandise, état d'ivresse très avancé pour abus d'alcool).
La dignité : Il s'agit de tout ce qu'il ne faut pas faire qui porte préjudice immédiat à la personne ; c'est la barrière de l'auto-humiliation. La sanction intervient tout de suite et respecte des normes sociales imposées.
L'intégrité physique : Le conseil d'Etat a reconnu l'intégrité de la personne comme étant d'ordre public (illustré dans l'obligation du port du casque à moto). La sanction est exclusivement corporelle.
Dans le cadre d'une activité professionnelle, ce carré reste le même et les transgressions engendrent les mêmes sanctions.
Exemple de transgression dans un cadre professionnel :
transgression quadrilatérale (donc d'une gravité extrême) : Aller au Shopi pendant son activité professionnelle. C'est illégal car le droit du travail ne reconnait "le shopi". C'est contraire aux bonnes moeurs car l'employeur ne paye pas quelqu'un pour aller à "shopi". C'est indigne car l'image renvoyé à ses autres collègues de travail est déplorable. Cela met en danger l'intégrité physique par les risques causés en traversant une route parfois en dehors des clous.
Transgression bilatéral : être torse nu pendant une activité professionnel de service public à la personne. C'est contraire au droit du travail qui impose une tenue bourgeoise pour les personnels qui reçoivent du public et c'est contraire à la dignité (la sanction de l'humiliation ne se fait d'ailleurs pas attendre).
Transgression unilatéral : Utilisation de chaussures à talon dans un contexte professionnel d'action. C'est la transgression la moins grave, c'est une simple atteinte à la dignité, c'est juste risible.
Extrait : "Les precepts de Laurence Kroug, précept n°35, géométrie sociale"