confusion des genres
Dans un mode pléthorique d'informations et d'images, la confusion règne.
Mais jusqu'à quel point ? Serait-il possible que les liens les plus tenus, ceux de la famille cèdent face à ce déferlement ?
La question posée quelques années plus tôt auraient trouvé une réponse immédiate : non, forcément non. Car la famille était alors le coeur des préoccupations des gouvernements et des familles elles-mêmes.
L'évolution des moeurs et l'accélération des rapports humains tendent à inverser la tendance.
La vertu familiale n'est plus un modèle, elle laisse la place à d'autres centres d'intérêts rapidement accessibles, nous évoluons dans une société purement consumériste.
Que devient alors la famille ? Où est sa place ? Eh bien elle se cherche. L'affrontement à l'autorité autrefois réservé à l'adolescent est désormais l'apanage de tous les âges. La famille n'est plus le modèle, elle n'est qu'un moyen d'accéder à un fugace bonheur matériel.
Il convient de s'interroger sur le devenir des enfants dans cette nouvelle société.
Les références des parents sont devenues désuettes. Mais les enfants ont-ils réellement perdu tout repère ?
Pas tant qu'on le pense. Il semble bien qu'il reste malgré tout un soupçon de souvenir du modèle familial.
Pourrait-on vraiment proposé à n'importe quel enfant des parents au hasard ? Serait-il en mesure de les considérer comme ses géniteurs originels même sans lien génétique ?
C'est loin d'être sûr.
Une expérimentation récente menée dans un centre de redressement pour mineurs délinquants a prouvé que tout n'était pas perdu. La tentative de proposer à des enfants d'autres parents que les leurs a, dans un premier temps, semé le trouble chez l'enfant même malgré l'insistance de l'éducateur puis chez les parents eux-mêmes.
Conclusion : à défaut de reconnaître le bien du mal, le vrai du faux, l'utile du futile, les futures générations sont, elles au moins, en mesure de reconnaître leurs parents.
Mais jusqu'à quel point ? Serait-il possible que les liens les plus tenus, ceux de la famille cèdent face à ce déferlement ?
La question posée quelques années plus tôt auraient trouvé une réponse immédiate : non, forcément non. Car la famille était alors le coeur des préoccupations des gouvernements et des familles elles-mêmes.
L'évolution des moeurs et l'accélération des rapports humains tendent à inverser la tendance.
La vertu familiale n'est plus un modèle, elle laisse la place à d'autres centres d'intérêts rapidement accessibles, nous évoluons dans une société purement consumériste.
Que devient alors la famille ? Où est sa place ? Eh bien elle se cherche. L'affrontement à l'autorité autrefois réservé à l'adolescent est désormais l'apanage de tous les âges. La famille n'est plus le modèle, elle n'est qu'un moyen d'accéder à un fugace bonheur matériel.
Il convient de s'interroger sur le devenir des enfants dans cette nouvelle société.
Les références des parents sont devenues désuettes. Mais les enfants ont-ils réellement perdu tout repère ?
Pas tant qu'on le pense. Il semble bien qu'il reste malgré tout un soupçon de souvenir du modèle familial.
Pourrait-on vraiment proposé à n'importe quel enfant des parents au hasard ? Serait-il en mesure de les considérer comme ses géniteurs originels même sans lien génétique ?
C'est loin d'être sûr.
Une expérimentation récente menée dans un centre de redressement pour mineurs délinquants a prouvé que tout n'était pas perdu. La tentative de proposer à des enfants d'autres parents que les leurs a, dans un premier temps, semé le trouble chez l'enfant même malgré l'insistance de l'éducateur puis chez les parents eux-mêmes.
Conclusion : à défaut de reconnaître le bien du mal, le vrai du faux, l'utile du futile, les futures générations sont, elles au moins, en mesure de reconnaître leurs parents.